IL Y A DES LUMIÈRES EN MER QUI RESSEMBLENT À DES PAROLES…
Comme mon maître Robert Doisneau, je suis conscient qu’avec un tempérament essentiellement contemplatif je ne me prédisposais pas à faire de bonnes images en prenant comme sujet des scènes violantes ou des personnages désagréables. Comme lui je tiens à une nécessité tout autre, positiver. J’ignore ce qui m’est insupportable.
L’émotion c’est ma motivation, avec le temps j’ai le sentiment de n’avoir retenu que le positif du négatif.